« Et pour quoi faire ? C’est là que le nouveau verbe « merkeln » (tergiverser), cruel mais mérité, a pris tout son sens. Les crises immédiates qui ont été gérées l’ont été pour la plupart de manière raisonnable, mais souvent après avoir été aggravées par des mois d’inaction. Et sans visions à long terme, ce que l’Europe paie toujours aujourd’hui. »
A propos de l’inaction d’Angela Merkel dans Challenge, décembre 2024
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