« Cela fait des années qu’il n’y a plus de pilote dans l’avion (…). Et à la fin, ce sont les salariés qui trinquent. »
A propos d’Auchan, Christophe Delay syndicaliste FO cité par Challenge, novembre 2024
Un blog sans prétention pour partager extraits de lectures et pensées (peu) profondes.
« Cela fait des années qu’il n’y a plus de pilote dans l’avion (…). Et à la fin, ce sont les salariés qui trinquent. »
A propos d’Auchan, Christophe Delay syndicaliste FO cité par Challenge, novembre 2024
Marc Lièvremont, sélectionneur de l’équipe de France de rugby qui a joué la finale de la Coupe du monde de 2011, réponds à la question « Comment être un bon leader ? » : Je suis arrivé à la conclusion que chacun, avec sa sensibilité, ses convictions, peut faire autorité, ce qui n'est pas être autoritaire. »
Selon lui, les trois dimensions du leader sont :
« La première est spirituelle : le chef doit ériger son projet sur un socle de valeurs que chacun doit s'approprier. Exigence, engagement, confiance et considération.
La seconde est visionnaire : le pilote doit fixer un objectif, définir la marche à suivre, absorber le stress, mobiliser les énergies, porter l'espérance.
La troisième est pédagogique : le mentor doit accompagner ses joueurs, les former, les encourager ou les recadrer, trouver les leviers pour en tirer le meilleur et les galvaniser. »
in « La Leçon de management du troisième ligne Lièvremont », Challenges, 7.9.2023
« Surround yourself with the best people you can find, delegate authority, and don’t interfere as long as the policy you’ve decided upon is being carried out. »
« Entourez-vous des meilleures personnes possibles, déléguez l’autorité et n’intervenez pas tant que la politique que vous avez décidée est mise en œuvre. »
Ronald Reagan
Le Général Burkhard, chef d’état major des armées dans un «ordre du jour» daté du 22 avril a dégagé les premiers enseignements de la guerre menée par les Ukrainiens pour défendre leur pays.
Il y souligne trois exigences:
Et met en avant une autre source d’inspiration : « Le commandement décentralisé des forces ukrainiennes constitue l’une des clés de leurs succès initiaux. «La supériorité potentielle réside dans la subsidiarité», assure un gradé. Contrairement aux forces russes, les armées occidentales doivent être «capables de faire confiance» aux échelons inférieurs, poursuit-on. A un fonctionnement vertical des opérations pourrait se substituer une approche en réseau où les unités disposent de compétences étendues. Les unités sur le terrain devraient disposer des capacités cyber minimales qui doivent aller plus loin que le combat «connecté» développé dans le cadre du programme Scorpion. «Une unité doit pouvoir neutraliser un réseau de caméras de surveillance» pour ne pas être repérée. «Le soldat de demain devra être muni d’un fusil et d’un smartphone», ajoute le militaire. Grâce à son téléphone sécurisé - qui suppose d’en protéger les vulnérabilités -, le soldat pourra participer à la «guerre informationnelle», géolocaliser les adversaires, assurer un relais de télémédecine… Dans un conflit de haute intensité, les unités devront être en mesure d’agir en autonomie, poursuit-on, sans attendre un soutien planifié à l’avance. »
D'après L’armée française tire ses premiers enseignements de la guerre en Ukraine, Le Figaro, 13/5/2022
« Dans ta vie, tu rencontreras des gens très bien et des gens pas bien. Les gens bien ça va, les gens pas bien tu identifies leur défaut et tu les entoures pour exploiter leurs qualités, et les gens très très mauvais tu t’en sépares tout de suite. »